Espèces juin – août 2025
- Magazine
- Espèces
- Numéro
- 56
- Date de sortie
- 29/05/2025
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Sommaire du numéro
La tardive découverte de l’okapi par les Européens à l’aube du 20e siècle est un modèle d’enquête cryptozoologique… un demi-siècle avant que le terme ne soit inventé.
Si l’okapi ou le chat doré d’Afrique savent se dérober à notre regard, aucune créature, hélas, n’échappe au réchauffement climatique : beaucoup doivent migrer pour survivre.
Dans ce numéro, vous apprendrez aussi les secrets de la longévité dans un monde toujours changeant avec les vétérans du vivant : arbres pluricentenaires de Bretagne et la laimargue, placide requin du Groenland.
Enfin dans ce numéro : comment les mollusques ont inventé la fibre optique ; l’explorateur qui aurait pu être le modèle d’Indiana Jones et pourquoi nous devrions prendre la zoologie par les tripes !
Les articles au sommaire
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Il ne faut pas vendre la peau de l’okapi…
L’histoire de la découverte de l’okapi est une succession d’occasions manquées mais un modèle d’enquête cryptozoologique. Cette drôle de girafe forestière ne sera décrite qu’au début du XXe siècle, après près de trente ans de tâtonnements.
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Quand le changement climatique bouleverse la répartition des espèces
Toutes les espèces sont aujourd’hui confrontées à une modification rapide des conditions climatiques. En réponse, elles tendent à migrer vers de nouveaux habitats, avec des conséquences écologiques qu’il faut anticiper.
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La laimargue du Groenland, un requin qui prend son temps
Ce requin placide des eaux polaires a attiré l’attention depuis qu’une étude a mis en évidence son espérance de vie record. Il la doit à sa sobriété en tout, mais n’en reste pas moins vulnérable.
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Les arbres anciens de Bretagne, par-delà nature et culture
Le grand nombre d’arbres pluricentenaires que compte la Bretagne témoigne de la force des liens qui unissent les habitants à ces vénérables ligneux. Les mythes qu’ils incarnent ont tous en commun de contredire l’opposition entre l’humanité et la nature.
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Portraits volés
En s’inspirant d’une technique développée pour la recherche, le photographe Will Burrard-Lucas réalise de véritables portraits d’art qui dévoilent la beauté des plus insaisissables habitants de la forêt équatoriale.
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Denis Allemand, Directeur scientifique du Centre scientifique de Monaco
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Gérard Guillot, Professeur agrégé de sciences de la vie et de la Terre
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Christine Dabonneville, Professeure agrégée de sciences de la vie et de la Terre
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Bruno Corbara, Chercheur en écologie, spécialiste des fourmis, université de Clermont-Auvergne
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Guillaume Lecointre, Professeur du Muséum national d’histoire naturelle
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Pierrick Graviou, Géologue, Bureau d’étude géologique et minière (BRGM), service géologique national