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Sommaire du numéro
Et si on parlait de running autrement ?
FORREST #2 – Courir barré !
Edito
Et si la fonction première de la course à pied était de nous emmener ailleurs ? Un ailleurs aussi proche que lointain. Une envie d’évasion qui nous amène aux notions de liberté et d’enfermement, de prisons et d’affranchissements. Un voyage dans le monde extérieur, ou dans son intimité intérieure. La course à pied permet cette introspection, ou cette grande évasion. Oblique, décalée, transversale, de préférence, car c’est le propre de FORREST que de faire un pas, ou une foulée, de côté.
Pour ce 2e Opus, nous avons rencontré des absolutistes, des revendicatifs et des je-m’en-foutistes assumés – en pleine « barrance » ou post-barrés. Des précurseurs et des soignants, des stakhanovistes et des laxistes creusant leur sillon. Des célébrités, ou non, qui ont trouvé leur moyen d’expression, de libération ou d’aliénation dans la course à pied. On les dit barrés, un peu azimutés, ou gentiment « décalés » dans le meilleur des cas. Alors partons de biais, filons en crabe ou de travers, mais allons-y ensemble !
- Prenez avec nous la trace de Mathieu Blanchard, Eric Judor, Allan « Boff » Whalley, Aleksandr Sorokin, ou Yuki Kawauchi.
- Courez à reculons, à l’aveugle, sur l’A86, ou contre des chevaux.
- Défiez le temps avec les prisonniers de la maison d’arrêt de Villefranche-sur-Saône.
- Découvrez comment le cerveau « débranche » en course, et produit des hallucinations lorsque l’effort dure et la fatigue s’accumule.
- Cochez sur votre To-Run-List les endroits les plus «barrés» pour se «barrer» !
Bref barrez-vous, mais avec Forrest sous le coude !